"Un souffle, une parenthèse, une équipe" ? C'est un atelier de 3h qui a pour but comme son nom l'indique, d'offrir un souffle une parenthèse aux équipes, d'y insuffler une dynamique et un nouvel élan afin d'être plus créatives, coopératives, optimistes ...
L'atelier est construit sur les bases du training d'acteurs, il est constitué de jeux, d'impros et de défis.
Ses bénéfices ? La cohésion de groupe, une plus grande confiance en soi, la légèreté, plus d'optimisme.
Alors si vous aussi vous avez envie de réenchanter vos équipes, contactez-moi !
Et pour ceux et celles qui trouvent le jeu ridicule, voilà un petit rappel (article tiré de psychologie magazine)
Jouer n’est pas régresser
« Les personnes imprégnées du modèle social de l’ère industrielle se doivent d’être tristes pour avoir l’air sérieux, explique le formateur en entreprise et spécialiste de la créativité Hubert Jaoui. Pour eux, être adulte, c’est ne pas sourire, ne pas jouer, ne pas pleurer, ne pas éprouver d’émotions, ne pas mélanger principe de plaisir avec principe de réalité. Finalement, ces “réalistes-rationalistes” sont des déprimés : ils ont tendance à prendre les choses de façon passive et fataliste. A l’inverse, les créatifs, qui s’amusent et sourient, savent que la réalité est flexible. Ils ont donc du plaisir à jouer avec elle pour, sans cesse, la recréer. Si on prend l’existence trop au sérieux, on se prive du pouvoir de la modifier.
L'atelier est construit sur les bases du training d'acteurs, il est constitué de jeux, d'impros et de défis.
Ses bénéfices ? La cohésion de groupe, une plus grande confiance en soi, la légèreté, plus d'optimisme.
Alors si vous aussi vous avez envie de réenchanter vos équipes, contactez-moi !
Et pour ceux et celles qui trouvent le jeu ridicule, voilà un petit rappel (article tiré de psychologie magazine)
Jouer n’est pas régresser
« Les personnes imprégnées du modèle social de l’ère industrielle se doivent d’être tristes pour avoir l’air sérieux, explique le formateur en entreprise et spécialiste de la créativité Hubert Jaoui. Pour eux, être adulte, c’est ne pas sourire, ne pas jouer, ne pas pleurer, ne pas éprouver d’émotions, ne pas mélanger principe de plaisir avec principe de réalité. Finalement, ces “réalistes-rationalistes” sont des déprimés : ils ont tendance à prendre les choses de façon passive et fataliste. A l’inverse, les créatifs, qui s’amusent et sourient, savent que la réalité est flexible. Ils ont donc du plaisir à jouer avec elle pour, sans cesse, la recréer. Si on prend l’existence trop au sérieux, on se prive du pouvoir de la modifier.